La coopérative

D’un point de vue légal nous sommes une société coopérative et participative à vocation sociale et environnementale. Les vigies a débuté le 1er janvier 2017 sous la forme d’une coopérative d’activité et d’emploi et c’est le 24 décembre 2019 que nous avons été officiellement immatriculés sous ce statut.

Nous sommes également un centre de formation avec l’ensemble des agréments (agrément n°75331226333 – Préfecture de Nouvelle-Aquitaine / organisme de formation certifié Datadock permettant une prise en charge de la formation par les OPCOs).

La coopérative est composée par deux associés-salariés en CDI et 3 personnes qui préfèrent conserver leur statut d’entreprise individuelle.

La gestion administrative et juridique de la coopérative est assurée par la SCIC Finacoop.

Les actions sont possibles sur tout le territoire francophone, Dom-Tom y compris – mais cela demande un petit peu plus d’organisation.

Nous sommes aussi de passage environ 2 jours par mois à Lyon, Montpellier, Bastia, Paris, Strasbourg: écrivez-nous ou téléphonez-nous ce sera l’occasion de faire connaissance.

Les vigies, pourquoi ce nom?

Nous essayons de surveiller le large et faisons des signaux lorsqu’une possibilité ou un danger est entraperçu. Nous travaillons en équipe avec tout un équipage.

Si une vigie est toute seule ça donne ça :

Valoriser des savoir-faire 

Les pratiques qui composent le socle de nos interventions sont liées à la prise en compte de la complexité des relations humaines, des relations entre acteurs, de la loi, des cultures sociales et professionnelles, de l’histoire qui explique parfois des situations, etc. Cela nous oblige depuis plus de 10 ans à persévérer et à peaufiner ce que nous faisons, comment nous le faisons et comment nous le transmettons.

En tant que praticien.ne.s voici quelques uns des piliers qui composent notre pratique :

• travailler, apprendre, persévérer,
• encourager,
• être accessibles,
• développer notre aisance à dialoguer avec des “mondes” très différents. Y parvenir implique souvent d’essayer d’étendre notre propre tolérance,
• maîtriser la connaissance des dynamiques internes aux groupes, organisations, réseaux, etc. autant que les aspects réglementaires qui cadrent ce qu’il est possible de faire,
• côtoyer, connecter et soutenir des acteurs engagés,
• travailler en réseau,
• approfondir notre éthique.

Une coopérative à vocation sociale et environnementale

(extrait des statuts)

Cette vocation se traduit notamment par la détermination personnelle des membres de la coopérative à mettre leurs compétences à la disposition de celles et ceux portant des projets humanistes, sociaux ou au service de l’environnement –  et non au plus offrant.

Professionnels des dynamiques collaboratives, nous avons l’habileté à faire se rencontrer, se connecter, dialoguer et collaborer ensemble un grand nombre d’acteurs comme notamment l’État, les collectivités, les corps de métier, les collectifs, le monde de la recherche, le milieu associatif, et à faire naître de ces rencontres du concret. Nous avons aussi la possibilité de former à cette capacité. Ce qui ne peut aller sans une responsabilité.

C’est une vocation qui nous anime depuis 2012 et c’est notre métier à plein temps que nous menons avec l’État, des établissements publics, des collectivités, des associations comme des entreprises qui portent des actions sociales et/ou environnementales.

Une société coopérative et participative (SCOP)

Les vigies est une société coopérative et participative (SCOP) car c’est le statut qui nous semble le plus correspondre à notre manière de nous organiser:

• nous trouvons naturel que, lorsque c’est possible dans une organisation, ce soient les salariés qui définissent démocratiquement les orientations de l’organisation. Ils sont en lien direct avec les bénéficiaires/usagers/clients/terrain et peuvent donc inter(agir) en ce sens.
• les salariés sont responsables de leur environnement de travail car ils en sont copropriétaires. Ils veillent pour que leur engagement soit soutenable (et que tout le monde ne finisse pas sur les rotules). Les salariés ont à cœur de voir leurs collègues épanouis. Parce que oui: le travail engagé va parfois de pair avec de l’épuisement, surtout quand on a des jeunes enfants.

Alyssa DAOUD

Facilitatrice professionnelle – médiatrice d’équipe / salariée – associée / Nouvelle-Aquitaine

Franco-tunisienne j’ai toujours été habituée à naviguer entre plusieurs cultures. En tant que facilitatrice j’appuie des projets de territoire qui soutiennent la résilience des territoires et leur autonomie. Je créé des journées ou anime des dispositifs où différentes “cultures” collaborent ensemble: monde associatif, entrepreneurial, élus de collectivités. Je soutiens toute l’année des entrepreneurs.euses sociaux, des associations de même que des agents qui de l’intérieur de l’État portent des initiatives. Je suis l’ex-DG du CREPAQ (association sur le gaspillage alimentaire). Vous me croiserez aussi comme conseillère au CESER de Nouvelle-Aquitaine sur les questions environnementales et de prospective et comme administratrice de l’association des Princ’ESS.

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Thomas WOLFF

Facilitateur professionnel, médiateur territorial / salarié – associé / Bourgogne-Franche-Comté

Les dynamiques de groupe sont mon métier depuis 7 ans autant qu’une forte passion. Comme médiateur territorial spécialisé dans l’environnement mon rôle consiste à rétablir l’écoute, le dialogue et la possibilités de coconstruire entre des acteurs différents d’un même territoire – au service de l’environnement et des citoyens. Bref: je mobilise, j’implique, j’écoute, je facilite, je suis en appui. Cette habilité à mobiliser et à faciliter la coopération entre personnes de mondes différents fait que j’anime à l’année plusieurs réseaux collaboratifs, organise des rencontres surprenantes, ou débloque des situations complexes pour des acteurs engagés. J’ai historiquement créé plusieurs centres de ressources dans le domaine et plusieurs associations. Vous me croisez également comme enseignant dans plusieurs universités et écoles d’ingénieurs.

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Marie-Gabrielle FAVÉ

Facilitatrice professionnelle / partenaire / Nouvelle-Aquitaine

Spécialisée dans les communautés collaboratives et les nouveaux modes de gouvernance, je suis facilitatrice professionnelle depuis plus de 10 ans. J’ai très bonnes connaissances dans le fonctionnement des grandes organisations et dans des établissements internationaux comme l’ONU. En tant que membre de Société Coopérative d’Intérêt Collectif Résilience et en tant que connectrice au sein du réseau Ouishare, je suis impliquée dans plusieurs projets de résilience territoriale. Je suis aussi conseillère au CESER de Nouvelle-Aquitaine sur les questions environnementales et impliquée dans plusieurs projets associatifs. Bref: j’ai les pieds entre différents mondes.

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Quentin Druart

Facilitateur, innovateur public / partenaire / Bruxelles

Président-directeur du Ministère des transports belge (SPF Mobilité) avec 1500 collaborateurs jusqu’à fin 2019, j’ai participé à cette grande aventure de créer les conditions pour que les collaborateurs puissent eux-mêmes décider ce qu’ils ont à accomplir pour être au service des usagers. Je souhaite des services publics où que les collaborateurs soient heureux en se levant le matin et fiers de l’impact positif sur nos concitoyens.  Je suis aussi Président de la Fondation Tealium et du réseau des Auberges de Jeunesse en Belgique. Je partage à des novateurs publics le courage et des billes pour transformer le service public.

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Fabien Labeyrie

Expert comptable mémorialiste / partenaire – SCIC Finacoop / Nouvelle-Aquitaine

Nous soutenons les vigies depuis la SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) FINACOOP Nouvelle-Aquitaine, cabinet d’expertise comptable dédié aux projets engagés de l’Économie Sociale et Solidaire. Nous y pratiquons la gouvernance partagée et proposons des services spécifiques aux particularités des entrepreneur.e.s sociaux.

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